Le 3 novembre, l’Église célèbre la Commémoration de tous les fidèles défunts. C’est un moment fort pour les chrétiens, une journée où l’on se rassemble pour prier pour ceux qui nous ont quittés, dans la foi et l’espérance.
L’abbé Armel KABEGO, prêtre de l’Archidiocèse de Bukavu, nous rappelle que cette prière pour les défunts est un geste d’amour et de solidarité. Elle montre que nous restons unis à ceux qui sont partis, surtout à ceux qui attendent encore de voir Dieu face à face. « Que le Dieu de miséricorde les accueille dans la lumière éternelle », écrit-il.
Se souvenir de nos défunts, ce n’est pas seulement pleurer leur absence. C’est aussi se rappeler leur vie, leur foi, leur amour. C’est une invitation à suivre leur exemple et à marcher, nous aussi, sur le chemin de la sainteté.
Par nos prières, les messes et les gestes de charité, nous disons que la mort n’est pas la fin. Elle est un passage vers une vie plus belle, en Dieu. Nous croyons que nos défunts vivent encore, autrement, et que nous les reverrons un jour.
En priant pour eux, nous leur faisons du bien. Et en même temps, cela nous aide à garder le cœur tourné vers l’essentiel, aimer, pardonner, espérer.
Rédaction
				




